Pendant les 12 années que durèrent l’affaire Dreyfus, de nouveaux moyens de journalisme, de photographie, et autres médias d’imageries utilisés à bon et mauvais escient. Suite au surplus d’informations sur le déroulement de l’affaire , le peuple français s’est divisé en deux « clans » : les dreyfusards et les anti-dreyfusards.

La plus grandes source de l’affaire fut les journaux et plus précisément la presse. Par le biais des avances technologiques et de la mondialisation des médias, cette grande affaire française devint internationale.

Le gouvernement voulant un coupable et le peuple français attendant des réponses, cela fit pression sur la presse qui est donc devenu une machine de propagande. Ces deux « clans » usent de différents médias insolites tels que cartes postales, chansons et même de dessins humoristiques ou satiriques  pour diffuser leurs opinion.

Afin de gagner l’opinion des lecteurs, les dreyfusards d’un côté et les anti-dreyfusards de l’autre lance le débat sur l’Affaire Dreyfus, ce qui mène donc à une compétition dévouée entre les journaux.

La presse jouit de l’amplification de la propagande en faisant plus de profit sur des articles qu’ils disent vrai ou faux.

Suite aux mensonges des journaux, les dreyfusards sont soumis à une complication. Ils eurent dont l’idée d’imiter ce processus afin de faire ouvrir les yeux au peuple et leurs dire de ne pas croire tout ce qui est raconté. Et ainsi, les limites de la presse.